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  • Agatha Raisin Enquête 13 - Chantage au Presbytère de M.C. Beaton

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Chantage au Presbytère ?

       "Je voulais faire durer le plaisir, garder ce tome pour plus tard, mais je n'ai pas résisté bien longtemps au plaisir de retrouver Agatha Raisin et son paisible village des Cotswolds."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Le nouveau vicaire fait tourner toutes les têtes avec sa gueule d'ange. Seuls le pasteur et sa femme ne semblent pas beaucoup l'apprécier. Alors quand il est retrouvé mort de leur maison, les principaux suspects sont tout trouvés. Mais Agatha va-t-elle laisser le mari de sa plus fidèle amie être accusé de meurtre ?"

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai aimé tous les livres de cette saga et c'est encore le cas ici. Pourtant, il y a toujours de petits bémols et c'est comme si l'auteur n'arrivait pas à trouver le bon équilibre. Ici, nous avons enfin, il me semble, une Agatha un petit peu plus sage et plus mature, un tantinet moins ridicule, un personnage qui évolue donc et je ne peux que m'en réjouir. L'enquête est également interessante et bien menée, avec des allers-retours à Londres qui nous changent un peu de décor, même si on commence vraiment à se demander ce que fait la police. En revanche, les personnages les plus excentriques, Roy et Charles, sont complètement absents de cette histoire et franchement, ça manque un peu de piquant, à l'image du nouveau voisin d'Agatha Raisin. Enfin, je déplore également quelques schémas un peu trop récurrents qu'il serait temps de laisser tomber."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'aimerais bien qu'au moins une fois, dans l'une de ses enquêtes, Agatha ne soit pas à deux doigts de se faire tuer, mais à part ça, je me suis, comme toujours, bien amusée et j'ai déjà hâte de me jeter sur le quatorzième volet."

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques de la saga Agatha Raisin ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Chantage au Presbytère" ?

  • The Baker's Daughter de D.E. Stevenson

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Baker's Daughter ?

       "Je suis littéralement amoureuse de ces couvertures et heureusement, les histoires de D.E. Stevenson sont toujours à la hauteur parce que même sans ça, je crois que je serais capable de les acheter ! C'est donc avec bonheur que j'ai reçu celui-ci à mon anniversaire."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Depuis la mort de sa mère, Sue a arrêté l'école et s'est occupée de son frère, de son père et de la maison. Mais depuis que celui-ci s'est remarié, elle ne sait plus où est sa place et c'est pour cela que lorsqu'elle apprend que les Darnay cherche une cuisinière, elle se propose tout de suite, malgré l'isolement de leur maison et le comportement fantasque du mari, peintre."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "L'auteur nous plonge toujours dans l'ambiance de petits villages anglais bien douillets. Ici, nous sommes en Écosse mais le plaisir est évidemment le même, voire décuplé pour moi qui ne rêve que d'Edimbourg. Très vite, on se laisse entraîner par la jeune Sue qui n'a rien vu du monde et qui sait pourtant bien ce qu'elle veut, et qui est très indépendante malgré son jeune âge. Ce sont à la fois sa force et sa naïveté qui vont faire tout le charme du livre et nous entraîner de rebondissements en rebondissements. La palette des personnages est un peu moins variée que d'habitude, du fait de la vie assez isolée de Sue, mais n'en est pas moins toujours aussi variée et passionnante, avec cette plume et cet humour qui ont fait le succès de l'auteur en son temps et que je redécouvre à chaque fois avec grand plaisir. Ajoutez à cela quelques réflexions bien senties sur l'art et la peinture et me voilà conquise."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai finalement trouvé cette histoire très moderne pour l'époque - le livre a été écrit juste avant la seconde guerre mondiale - et du coup, moins attendue que ce que l'on aurait pu croire. Bien sûr, il est question d'une happy ending mais ce roman ne manque pas d'originalité pour autant. J'ai hâte de découvrir mon prochain D.E. Stevenson et j'en ai d'ailleurs déjà un autre dans ma PAL."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de D.E. Stevenson ICI

    et la chronique de Celia's House, réécriture de Mansfield Park, sur Jane Austen is my Wonderland

     

    Alors, vous craquez pour "The Baker's Daughter" ?

  • Wild Strawberries d'Angela Thirkell

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    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Wild Strawberries ?

       "De retour de Londres, l'année dernière, il me restait quelques minutes avant d'embarquer et quelques livres à dépenser. Ayant beaucoup apprécié High Rising, le premier opus de cette petite série, quand j'ai vu celui-ci je n'ai pas hésité."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Lady Emily mène tout son petit monde sans en avoir l'air : son mari bien sûr, ses deux fils, l'un insouciant et l'autre veuf, ayant le coeur brisé, sa fille et la belle-soeur de celle-ci, une jeune et jolie jeune fille sans le sou, ses petits-enfants, ses domestiques et tout le reste du village bien sûr..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Je retrouve immédiatement ce qui fait pour moi la marque et le charme de cet auteur :  de l'humour, de la légèreté et des personnages complètement loufoques que l'on aimerait rencontrer dans la vraie vie. J'ai été déçue, cependant, de ne pas croiser ceux de l'opus précédent, ne serait-ce que pour une courte apparition, que j'avais finalement préféré à ceux-là. Si j'ai aimé Lady Emily et sa fille, l'impassible Agnès, j'ai été bien moins séduite par la jeune Mary Preston, excessive dans sa naïveté et son aveuglement, ce qui amenuisait malheureusement mon intérêt pour ses histoires sentimentales."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Tout est bien qui finit bien, évidement, mais avec des retournements de situations en peu trop soudain. Cela ne m'empêchera pas pour autant de poursuivre la lecture de cette petite série aux couvertures bien trop belles pour que je résiste. À noter d'ailleurs que ce livre est ressorti récemment en français chez Charleston."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres d'Angela Thirkell ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Wild Strawberries" ?